La journée a bien mal commencé ce matin.
J'avais mis le réveil a sonner pour aller faire une marche avec mon ti club et je n'y suis pas allée. La météo hier soir était mauvaise, je ne me suis donc pas fait tellement d'illusion. Mais une flemmingite aiguë (je qualifierais plutôt ça d'un manque total de motivation) est apparue au moment de la sonnerie doublée par un mal aux reins du à mon roulé-boulé de cet été dans la baignoire. Je ne me suis même pas levée pour savoir s'il y avait espoir de sortir ou pas. J'ai eu confirmation par la suite que tout compte fait si je n'avais pas envie d'être mouillée j'avais bien fait de rester chez moi. Mais.....
J'avais mis le réveil a sonner pour aller faire une marche avec mon ti club et je n'y suis pas allée. La météo hier soir était mauvaise, je ne me suis donc pas fait tellement d'illusion. Mais une flemmingite aiguë (je qualifierais plutôt ça d'un manque total de motivation) est apparue au moment de la sonnerie doublée par un mal aux reins du à mon roulé-boulé de cet été dans la baignoire. Je ne me suis même pas levée pour savoir s'il y avait espoir de sortir ou pas. J'ai eu confirmation par la suite que tout compte fait si je n'avais pas envie d'être mouillée j'avais bien fait de rester chez moi. Mais.....
Puis est arrivé le moment de se lever avec le rituel habituel de la pesée après la pose pipi. Là j'ai été achevée : 66 kg ! tout rond, tout moche ! La gifle !!
Il est évident qu'avec la vie que je mène et surtout de la façon dont je gère il ne peut en être autrement.
Hier matin déjà j'avais voulu mettre l'ensemble pantalon dont je vous avais mis la photo en ligne au mois d'avril dernier et là déception. J'ai été obligée de le remettre dans le placard car si effectivement j'avais pu monter la fermeture éclair il aurait été hors de question de partir avec pour deux raisons : impossible de m'asseoir au risque de l'éclater en deux à la raie des fesses et la deuxième : risque d'asphyxie tellement j'étais comprimée.
Si au moins tout cela pouvait me rebooster pour faire le nécessaire pour les reperdre mais deux sentiments totalement opposés se font la guerre en moi.
Le premier me dit et me fait dire haut et fort : "ah non ce n'est pas possible il faut que ça s'arrête là ! Il est hors de question d'en prendre davantage. Ah non alors je ne veux plus connaître ce que j'ai vécu auparavant !"
Et l'autre, beaucoup plus sournois, qui ne parle pas haut et fort comme l'autre mais au contraire marmonne à l'intérieur et qui tout compte fait est beaucoup plus puissant que l'autre dit "j'en ai marre de me battre, cela fait deux ans et demi que ça dure, ça ne finira jamais, je le sais, la motivation est en berne, je suis fatiguée et mal dans ma peau, pffffffff !!!"
J'ai pourtant repris la calculette, mais sans conviction. Ce qui fait que bien évidemment dans des conditions comme ça, ça ne marche pas. Je commence à envisager de retenter des co....ies pour essayer de les perdre rapidement, tout en sachant que ce n'est pas la bonne solution, mais.....
Je sais ou tout du moins j'espère que ce n'est qu'une mauvaise passe et que je vais reprendre le droit chemin mais en attendant c'est encore un passage difficile et effrayant. Car je sais ce qui risque d'arriver, l'ayant déjà vécu.
Et puis il y a les gens autour de moi qui se plaignent (à moi) d'avoir pris du poids et quand à mon tour je dis que moi aussi..... la réponse est "nooooooon ! ça ne se voit pas !" (là ils ont de la m....e dans les yeux, car moi je le vois) et ils enchaînent avec "ne t'inquiètes pas tu vas les reperdre rapidement !!!!" (alors c'est que c'est vrai non ? puisqu'ils confirment !) Je leur rentrerais dans le chou quand ils font preuve d'autant de mauvaise foi. Ce qui malheureusement ne servirait à rien et surtout pas à perdre ce que j'ai repris.
Voilà la situation. Pas désespérée mais au creux de la vague....... une fois de plus et probablement pas la dernière.
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