samedi 26 juin 2010

Vous reconnaissez-vous ?

*A TOUS LES «PARENTS MÉCHANTS» !*

Un jour, quand mes enfants seront assez vieux, pour comprendre la logique qui motive un parent, je vais leur dire, comme mes parents méchants m'ont dit :

Je t'ai aimé assez pour te demander où tu allais, avec qui, et quand tu serais de retour à la maison...

Je t'ai aimé assez pour être patiente jusqu'à ce que tu découvres que ta nouvelle meilleure amie ou ton grand copain, n'était pas fréquentable....

Je t'ai aimé assez pour me tenir plantée là dans le cadre de porte pendant deux heures tandis que tu nettoyais ta chambre, une affaire de 15 minutes en principe !

Je t'ai aimé assez pour te laisser voir la colère, la déception et les larmes dans mes yeux. Les enfants doivent apprendre que leurs parents ne sont pas parfaits.

Je t'ai aimé assez pour te laisser assumer la responsabilité de tes actions même lorsque les pénalités étaient si dures qu'elles ont presque brisé mon cœur.

Mais surtout, je t'ai aimé assez pour dire NON même quand je savais que tu me détesterais pour ça.

Telles étaient les batailles les plus difficiles de toutes. Je suis heureuse de les avoir gagnées, parce qu'à la fin, tu y as gagné aussi.

Et un jour, quand tes enfants seront assez vieux pour comprendre la logique qui motive des parents «méchants», tu leur diras :

Vos parents étaient ils méchants ? Les miens l'étaient !
J'ai eu les parents les plus méchants du monde entier !

Pendant que d'autres enfants mangeaient des sucreries pour les repas, j'ai dû manger des céréales, des œufs, et des légumes.

Quand d'autres ont eu du Coca et des hamburgers pour le dîner, j'ai dû manger de la viande, du fromage, des crudités et des fruits... Sans oublier toutes ces crêpes et gâteaux que ma maman nous a faits... Et vous pouvez deviner que ma mère m'a fait des dîners qui étaient différents de celui des autres enfants.

Mes parents ont insisté pour savoir où j'étais en tout temps. On aurait pu croire que j'étais enfermée dans une prison. Ils devaient savoir qui mes amis étaient et ce que je faisais avec eux.. Ils insistaient si je disais que je serais partie pour une heure, pour que ce soit seulement une heure ou moins.. J'avais honte de l'admettre, mais mes parents ont enfreint la loi sur la protection des enfants concernant le travail en me faisant travailler. J'ai dû faire la vaisselle, mon lit (quelle horreur!), apprendre à faire la cuisine, passer l'aspirateur, faire mon lavage, vider les poubelles et toutes sortes d'autres travaux cruels.

Je pense qu'ils se réveillaient la nuit pour imaginer de nouvelles tâches à me faire faire... Ils ont toujours insisté pour que je dise la vérité, juste la vérité et rien que la vérité. Au moment où je suis devenue adolescente, ils pouvaient lire dans mon esprit et avaient des yeux tout autour de la tête.

Puis, la vie est devenue vraiment dure !

Mes parents ne laissaient pas mes amis juste klaxonner quand ils venaient me chercher. Ils devaient venir à la porte pour qu'ils puissent les rencontrer. À cause de mes parents, j'ai manqué beaucoup de choses que d'autres enfants ont expérimentées.

J e n'ai jamais été prise pour vol à l'étalage, vandalisme, alcoolisme, ni même arrêtée pour tout autre crime. C'était «tout de leur faute».

Maintenant que j'ai quitté la maison, je suis instruite et une adulte honnête. Je fais de mon mieux pour être un parent méchant comme mes parents l'étaient. Je pense que c'est ce qui ne va pas avec le monde aujourd'hui.

Il n'y a pas assez de parents méchants!

Passez ce texte à tous les parents méchants que vous connaissez (et à leurs enfants !)
Merci donc à tous les parents qui ont été assez méchants dans notre jeunesse pour nous apprendre à être de méchantes bonnes personnes.

De Stéphanie CHARIOT-AUCHERE Neuropsychologue Centre Hospitalier 55, rue Docteur Jean Michel 39000 LONS LE SAUNIER

dimanche 20 juin 2010

Il est bien arrivé !

Et oui comme il n'y avait pas d'embouteillage, la cigogne a eu un peu d'avance pour la livraison, une bonne quinzaine de jours environ....

Ce matin à 6 heures 20 un joli petit garçon est arrivé. 2kg 800 pour 49 cm. Il va sans dire que c'est le plus beau bébé du monde.

Comme il est déjà pleins d'attentions pour ses parents il a choisi, pour faire un beau cadeau à son Papa de naître le jour de la fête des Pères, ce n'est pas beau ça !!!!

Nous avons hâte de monter le voir et de nous présenter à lui.....

Bienvenue à toi mon ange.

jeudi 17 juin 2010

Il tombe des cordes !
En principe on chante "il pleut, il mouille, c'est à la fête à la grenouille !" mais là c'est trop je suis sure que même les grenouilles se mettent à l'abri !!!
Notre département a été mis en vigilance orange depuis hier soir. Je viens de regarder les prévisions météo sur internet mais il va falloir encore attendre plusieurs heures avant que cela se calme.

En attendant pour m'éviter de regarder par la fenêtre je cuisine avec des fonds de frigo. Je viens de faire un genre de ratatouille sans tomates avec 2 petites courgettes qui me restaient et un demi bocal de poivrons rouge au naturel que je mangerai avec un steak. J'ai utilisé l'autre moitié dans une sorte de quiche sans pâte où là vraiment ce sont de vrais fonds de frigo : il y a l'autre demi bocal de poivrons rouge, 2 courgettes, de l'ail, des allumettes de bacon, des oeufs, un peu de crème allégée et même un petit carré frais gervais qui était là tout seul dans le frigo et qui me disait "utilise moi !" (rire) et j'allais oublier 20 g de semoule fine.

Je vais maintenant faire un flan de France au chocolat et voilà ......

J'espère que chez vous la météo est plus clémente car avec tout ce que l'on entend aux infos on fini par avoir peur....

A bientôt.......

mercredi 16 juin 2010

Que choisiriez-vous ?

À partir d'une publicité dans la vitrine d'un gymnase en France, voici la répartie d'une femme dignement intelligente ... Lisez jusqu'au bout, ça vaut la peine.....
C'est une réponse lucide à une question acide...qui devrait faire le tour des adresses courriel des femmes que vous aimez et des hommes sensés aussi !

Il y a quelques jours, dans une ville en France, une affiche, avec une jeune fille spectaculaire, sur la vitrine d'un gymnase, disait : « CET ÉTÉ ... VEUX-TU ÊTRE SIRÈNE OU BALEINE ? » .

Il paraîtrait qu'une femme d'âge moyen, dont les caractéristiques physiques ne sont pas connues, a répondu à la question publicitaire en ces termes :

Chers Messieurs,

Les baleines sont toujours entourées d'amis (dauphins, lions marins, humains curieux).
Elles ont une vie sexuelle très active, elles ont des baleineaux très câlins qu'elles allaitent tendrement.
Elles s'amusent comme des folles avec les dauphins et s'empiffrent de crevettes grises.
Elles jouent et nagent en sillonnant les mers, en découvrant des lieux aussi admirables que la Patagonie , la mer de Barens ou les récifs de Corail de Polynésie.
Les baleines chantent très bien et enregistrent même des cd's.
Elles sont impressionnantes et n'ont d'autres prédateurs que l'homme.
Elles sont aimées, défendues et admirées par presque tout le monde.

Les sirènes n'existent pas !!!
ET - si elles existaient, elles feraient la file dans les consultations des psychanalystes argentins parce qu'elles auraient un grave problème de personnalité « femme ou poisson ??? ».
Elles n'ont pas de vie sexuelle parce qu'elles tuent les hommes qui s'approchent d'elles. Ils feraient comment d'ailleurs ?!?
Donc, elles n'ont pas d'enfants non plus...
Elles sont jolies, c'est vrai, mais isolées et tristes...
En outre, qui voudrait s'approcher d'une fille qui sent le poisson ???

Moi c'est clair, je veux être une baleine !!!

PS : À cette époque où les médias nous mettent dans la tête l'idée que seulement celles qui sont minces sont belles, je préfère profiter d'une glace avec mes enfants, d'un bon dîner avec un homme qui me fait vibrer, d'un café et de gâteaux avec mes amis.

Avec le temps, nous gagnons du poids parce qu'en accumulant tant d'informations dans la tête, quand il n'y a plus d'autre emplacement, il se redistribue dans le reste du corps, donc nous ne sommes pas grosses, nous sommes énormément cultivées.
A partir d'aujourd'hui, quand je verrai mes fesses dans un miroir je penserai : mon Dieu, que je suis intelligente !!!

mardi 15 juin 2010

Amusons nous !

J'ai reçu par mail ce petit coup d'oeil sur quelques us et coutumes des temps lointains. Je n'ai pas vérifier si elles étaient vraies mais si ça l'est c'est à la fois surprenant et amusant.
Je vous souhaite une bonne lecture et passez un bon moment...

La prochaine fois que tu te laves les mains, et que tu trouves la température de l'eau pas vraiment agréable, aie une pensée émue pour nos ancêtres... Voici quelques faits des années 1500 :

- La plupart des gens se mariaient en juin, parce qu'ils prenaient leur bain annuel en mai, et se trouvaient donc encore dans un état de fraîcheur raisonnable en juin. Mais évidemment, à cette époque, on commençait déjà à puer légèrement, et c'est pourquoi la mariée tentait de masquer un tant soit peu son odeur corporelle en portant un bouquet. C'est à cette époque qu'est née la coutume du bouquet de la mariée.

- Pour se baigner, on utilisait une grande cuve remplie d'eau très chaude. Le maître de maison jouissait du privilège d'étrenner l'eau propre. Suivaient les fils et les autres hommes faisant partie de la domesticité, puis les femmes, et enfin les enfants. Les bébés fermaient la marche. A ce stade, l'eau était devenue si sale qu'il aurait été aisé d'y perdre quelqu'un...
D'où l'expression «Jeter le bébé avec l'eau du bain»!

- En ces temps-là, les maisons avaient des toits en paille, sans charpente de bois. C'était le seul endroit où les animaux pouvaient se tenir au chaud. C'est donc là que vivaient les chats et les petits animaux (souris et autres bestioles nuisibles), dans le toit. Lorsqu'il pleuvait, celui-ci devenait glissant, et il arrivait que les animaux glissent hors de la paille et tombent du toit. D'où l'expression anglaise «It's raining cats and dogs».

- Pour la même raison, aucun obstacle n'empêchait les objets ou les bestioles de tomber dans la maison. C'était un vrai problème dans les chambres à coucher, où les bestioles et déjections de toutes sortes s'entendaient à gâter la literie. C'est pourquoi on finit par munir les lits de grands piliers afin de tendre par-dessus une toile qui offrait un semblant de protection. Ainsi est né l'usage du ciel de lit.

- A cette époque, on cuisinait dans un grand chaudron perpétuellement suspendu au-dessus du feu. Chaque jour, on allumait celui-ci, et l'on ajoutait des ingrédients au contenu du chaudron. On mangeait le plus souvent des légumes, et peu de viande. On mangeait ce pot-au-feu le soir et laissait les restes dans le chaudron. Celui-ci se refroidissait pendant la nuit, et le cycle recommençait le lendemain. De la sorte, certains ingrédients restaient un bon bout de temps dans le chaudron...

- Les plus fortunés pouvaient s'offrir des assiettes en étain. Mais les aliments à haut taux d'acidité avaient pour effet de faire migrer des particules de plomb dans la nourriture, ce qui menait souvent à un empoisonnement par le plomb (saturnisme) et il n'était pas rare qu'on en meure. C'était surtout fréquent avec les tomates, ce qui explique que celles-ci aient été considérées pendant près de 400 ans comme toxiques.

- Le pain était divisé selon le statut social. Les ouvriers en recevaient le fond carbonisé, la famille mangeait la mie, et les hôtes recevaient la croûte supérieure, bien croquante.

- Pour boire la bière ou le whisky, on utilisait des gobelets en plomb. Cette combinaison mettait fréquemment les buveurs dans le coma pour plusieurs jours ! Et quand un ivrogne était trouvé dans la rue, il n'était pas rare qu'on entreprenne de lui faire sa toilette funèbre. Il restait ainsi plusieurs jours sur la table de la cuisine, où la famille s'assemblait pour boire un coup en attendant que l'olibrius revienne à la conscience. D'où l'habitude de la veillée mortuaire.

- La Grande-Bretagne est en fait petite, et à cette époque, la population ne trouvait plus de place pour enterrer ses morts. Du coup, on déterra des cercueils, et on les vida de leurs ossements, qui furent stockés dans des bâtiments ad hoc, afin de pouvoir réutiliser les tombes. Mais lorsqu'on entreprit de rouvrir ces cercueils, on s'aperçut que 4% d'entre eux portaient des traces de griffures dans le fond, ce qui signifiait qu'on avait enterré là quelqu'un de vivant. Dès lors, on prit l'habitude d'enrouler une cordelette au poignet du défunt, reliée à une clochette à la surface du cimetière. Et l'on posta quelqu'un toute la nuit dans les cimetières avec mission de prêter l'oreille. C'est ainsi que naquit là l'expression «sauvé par la clochette».

Qui a donc dit que l'histoire était ennuyeuse ?

vendredi 11 juin 2010

Mauvaise nouvelle

Comme beaucoup d'entre nous je me fais rare avec les beaux jours qui arrivent et ne nous voilons pas la face, comme tout le monde aussi, lorsque je suis en état d'échec le silence s'installe. Mais chose étrange et tant mieux je ne le vis pas trop mal tout comme Jo-elle et Cicciotella. Peut être commençons nous à nous accepter tel que nous sommes ????

Et dernier point je commence à manquer d'inspiration pour alimenter mon blog. Toujours dire les mêmes choses "j'ai repris....", "j'ai perdu...." sont d'une banalité ennuyeuse, la preuve en est, pratiquement plus personne ne passe ce que je comprends aisément.

Ceci dit je n'ai pas perdu mon temps entre deux et je me suis occupée beaucoup plus sérieusement de ma hanche pour aboutir à un résultat auquel je ne m'attendais pas du tout.

Mes douleurs sont dues à une hernie discale. Poisse, poisse et repoisse !! Vais je devoir abandonner la marche qui m'apportait tant de bonheur ?

J'ai RDV chez mon médecin cet après midi qui me donnera certainement de plus amples informations et me dirigera sans doute vers un spécialiste et puis après on verra.......

Je vous souhaite une bonne fin de semaine et un bon week et soyez plus sérieuse que moi (vous n'aurez pas de mal à l'être).

mercredi 2 juin 2010

Un pas en avant....

un pas en arrière...

Après un résultat encourageant, déception le lendemain avec reprise de pratiquement tout ce qui avait été perdu la veille.

Le temps que je n'aurai pas repris les bonnes vieilles habitudes de peser certains aliments, de noter et de compter mes points je sais que je ne perdrai pas ce que j'ai repris.

J'ai l'impression et c'est vrai, de faire mieux (ce n'est pas difficile vu les imbécillités que j'ai fait) mais ce n'est pas suffisant. L'équilibre n'y est pas et même si j'ai diminué les quantités je dois très certainement dépasser mon quotta de PP autorisé.

Je suis allée cet après chez mon médecin pour faire un bilan santé que mon régime de Sécu m'a envoyé. Il y avait entre autre le poids, la taille et l'IMC.... Je ne vous fait pas de dessin je suis à nouveau dans le surpoids. Oh, le tout début mais quand même..... D'ailleurs il a bien noté dans les commentaires "léger surpoids", quelle poisse !!!!

Pour visualiser la reprise comme je le faisais pendant ma période d'amaigrissement j'ai repris l'équivalent de 12 plaquettes de beurre !!!

Ce matin, j'ai fait une tentative. Je suis retournée marcher avec mon ti groupe du mercredi, pour voir comment ma hanche se comportait. J'ai pris avant de partir un anti inflammatoire quand même. Ça s'est bien passé mais bien que la ballade soit facile et pas très longue (1 heure 30) j'ai peiné et j'ai trouvé qu'elle traînait en longueur. Le manque d'entraînement s'est vraiment fait sentir, on perd très vite les acquis.

J'espère pouvoir reprendre le plus tôt possible car lorsque je vois les montagnes ça me fait mal au coeur. J'ai RDV pour un scanner le 10 juin, pourvu qu'ils trouvent la cause et aussi la solution...

Et vous les filles comment ça va ? Avec les beaux jours qui arrivent retrouvez vous de la motivation ?

mardi 1 juin 2010

Merci les filles

Vous avez mille fois raison lorsque vous dites qu'il faut que je continue à alimenter ce blog. Nous avons toute la même façon de réagir à ce niveau : lorsque nous sommes en période de découragement, de ras le bol, d'échec.. nous cessons de donner de nos nouvelles et le résultat est encore pire. C'est en fin de compte une sorte d'ancrage comme on en parle chez WW.
Donc je vais essayer de reprendre les bonnes habitudes. Pas facile, mais qui veut la fin, veut les moyens, et somme toute ce n'est franchement pas le plus compliqué.

Hier, j'ai tenu le coup. J'ai réussi à limiter mes coups de fourchettes qui ont repris de leur puissance. Il faut dire que j'ai toujours eu un solide appétit. J'ai retiré de la table, tel le pain, tout ce que l'on prend et reprend machinalement au cours du repas sans y prendre garde. Pour le soir comme il ne faisait franchement pas beau et pas très chaud j'en ai profité pour me faire une soupe à la courgette avec un peu de pomme de terre et un fromage fondu qui m'a calé et régalé (c'est important), suivi d'un yaourt et d'une belle grosse pomme. J'ai toujours du résultat le lendemain quand je fais ce repas et ça c'est avéré ce matin. J'ai besoin pour me remotiver et arriver à repartir dans le bon sens d'un résultat immédiat si petit soit-il. Une chance que mon corps a joué le jeu (merci mon corps - rire) .
Je n'ai pas encore repris le carnet et la balance, j'essaie simplement, dans un premier temps de recadrer un peu tout comme le berger qui regroupe ses moutons dispersés dans la prairie ! mais je n'ai pas la volonté de suivre le programme d'une façon stricte.

Voilà ce n'est pas une victoire, on en est loin mais toujours une journée de sauvée.......